En 2011, le «Printemps Arabe» faisait naître de grands espoirs
dans tout le Moyen-Orient. Depuis l’Europe, on voyait des
peuples se dresser pour prendre leur destin en main en espérant
qu’ils puissent établir chez eux des démocraties qui nous
ressemblent. Cinq ans après, seule la Tunisie tire profit de
son «printemps». Ailleurs, ce n’est que guerre et chaos dans
lesquels l’extrémisme islamiste se complaît pour s’étendre